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La propriété est difficile à trouver et n'a aucun signe et l'emplacement est également déprimant
si assez proche du centre ville.
La chambre, appelée « La cabine du capitaine » serait mieux appelée « La cabine du capitaine ».
Robinson Crosué ». Les meubles, en effet, sont fabriqués au nom des plus
un écologisme extrémiste, avec des matériaux recyclés, parfois de véritables déchets. Il n'y a
placard : vous avez deux caisses de munitions sous le lit et, au sol, une sorte de
le tronc s'effondre. Le reste du mobilier est de style : il semble avoir été réalisé par un
Garçon de 5 ans jouant au petit menuisier. Le coin cuisine a été réalisé avec
planches de récupération brutes (impossible à nettoyer ou désinfecter) et la table à manger est
oui debout, mais c'est tout : si vous voulez l'utiliser pour déjeuner sur vos jambes oui
ils se déconnectent.
Le lit suit la même philosophie : si un couple, pris de romance pour le
jardin devant, négligé et avec une jolie flaque d'eau putride au centre, si on voulait
se livrer à une certaine "épanchement", il est probable qu'elle commence sur un lit et se termine sur un
fouton.
Par contre le prix est assez élevé.
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Lola.o
frederique.a
